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30 avril 2014 3 30 /04 /avril /2014 13:31

L'environnement professionnel expose de plus en plus les salariés à des risques psychosociaux entraînant un certain mal-être, mais nous ne savons pas toujours les définir.

Quels sont-ils et que signifient-ils ?

20 minutes.fr a présenté un décryptage des 10 mots-clés de ce mal-être.

• Ennui : On a tendance à croire que les salariés sont davantage surexploités que sous-exploités. Il y en a bien qui sont sous-exploités et se rendent compte que leur travail ne correspond pas à leurs attentes, qu'ils sont donc victimes d'ennui qui peut facilement dégénérer en " burnout ".

• Harcèlement : aussi bien moral que sexuel, le harcèlement est l'un des maux psychosociaux que subissent de nombreux employés.

• Management : savoir manager est un impératif dans toute entreprise. Un manager qui n'écoute pas ses collaborateurs peut impacter négativement la santé de ces derniers qui
sont plus considérés comme des machines que comme des professionnels.

• Open space : ce mode de disposition des bureaux peut ne pas être l'idéal pour toutes les entreprises. Alors qu'il doit favoriser une bonne circulation de l'information, cette dernière devient excessive, voire gênante car elle s'érige en moyen de contrôle pour les employeurs et déconcerte les salariés.

• Rythme : quel est le meilleur rythme de travail ? Entre les CDD et les stages interminables, le salarié a tendance à travailler énormément, espérant décrocher un CDI. Pire, les horaires décalés ne facilitent pas un bon équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée.

• Stress : comment se manifeste-t-il ? Ce mot couramment utilisé dans le milieu professionnel, " n'est qu'un phénomène auto-entretenu et partiellement une construction de l'esprit, dans le sens où l'on anticipe ce qui peut nous stresser ". On est alors sujet à une accélération du rythme cardiaque et à de l'agressivité dès qu'on se trouve en face d'une situation jugée stressante. On peut parler là aussi de " burnout ".

• Smartphones : devenus incontournables dans la vie des salariés, il est malheureusement l'objet qui empiète le plus sur la vie privée de ces derniers qui sont désormais joignables par leur hiérarchie partout et à tout moment !

• Suicides : le nombre des suicides va crescendo. On comptabilise plus de 400 suicides par an sur le lieu de travail. Ayant accès à des substances mortelles, les professionnels de santé sont davantage exposés.

• Violences : elles aussi sont en augmentation et sont aussi bien physiques que morales. Les agressions de tout ordre, entre collègues et/ou usagers sont de plus en plus fréquentes.

• Workaholism : c'est " la dépendance pathologique au travail " dont sont victimes les cadres en entreprise qui sont supposés avoir une charge importante de travail, des horaires volumineux et de grandes responsabilités.

Vous pouvez aussi voir cette vidéo pour mieux vous sentir au travail: https://www.youtube.com/watch?v=KmNjBS6Qncs


Source: http://news.radins.com

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14 février 2014 5 14 /02 /février /2014 20:44

Quelques entreprises poussent les employés à effectuer des heures supplémentaires exténuantes sans rémunération conséquente. Heureusement, ces employés peuvent recourir à la justice...

L'informaticien surmené

Pendant plusieurs années, un cadre informaticien de la société Natixis a été de garde 24h sur 24h pendant 6 jours sur 7.

Pourtant, le contrat liant cet employé au groupe stipulait une durée de 37,5 heures de travail hebdomadaire.

En effet, cet employé restait scotché à son BlackBerry, à son téléphone de travail et à son ordinateur professionnel de jour comme de nuit. Même pendant les jours fériés et les congés, il demeurait contraint de travailler. Le syndicat CGT de la société Natixis AM s'exprimant sur le fait, assimile la vie de l'employé à un véritable enfer.

Ce surmenage lui a valu une détérioration de santé et de sa vie privée.

Le verdict de la justice

Cet informaticien surmené remporte son procès en justice contre le groupe. Suite au rejet par la Cour de cassation, du pourvoi formé par Natixis, l'informaticien surmené bénéficie d'un versement de 737 000 euros. C'est le verdict prononcé par la Cour d'appel de Paris, le 4 juillet 2012.

Dans la somme à verser, 508 000 euros serviront au paiement majoré des heures d'astreintes effectuées par l'informaticien durant la période allant de 2003 à 2007.

Le reste couvre le paiement des heures supplémentaires et congés non payés.

EMMA.LAURENT

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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 13:49

L’open space est mort, vive l’open space cloisonné

Par Sylvia Di Pasquale 20 janvier 2014

Leur avis est important. Car ils seront cadres dans peu de temps. Alors, quand on demande à 500 élèves de l’Essec de dessiner leur « bureau de demain », mieux vaut regarder de près. Évidemment, ce ne sont pas des petits dessins mais plutôt les grands desseins que les futurs cols blancs ont esquissé à grands traits dans ce sondage réalisé par la chaire « Immobilier et développement durable » de l’institution.

Ce qui surprend à la lecture des réponses fournies, c’est leur pragmatisme. Travailler dans un hôtel particulier ? Nos brillants étudiants ne sont que 15% à le souhaiter. Un atelier d’artiste ? 23% seulement. Peut-être souhaitent-ils tous travailler dans un bon vieux siège social tout en verre ? Le rejet pour ce genre de décor est quasi unanime. Le bureau classique où le manager est seul maître à bord ? C’est non pour 93% d’entre eux. Mais alors, dans quel type de bureau rêvent-ils de passer leurs journées de boulot ? Dans un bureau fermé mais partagé, pour 50% d’entre eux.

En fait, si ce sondage enterre l’open space version XXL (seulement 23% des interrogés souhaiteraient y bosser), il confirme l’envie d’un espace de travail collaboratif façon start-up. Un open space, d’accord, mais cloisonné, pour rester vivable. Un espace plus feutré que ces grands halls de gare, et où des équipes multidisciplinaires peuvent même travailler en mode projet. Autre enseignement de taille de ce petit sondage : le télétravail et le co-working sont plébiscités. Bosser à la maison ou dans un endroit dédié hors du bureau, est une revendication pour 55 et 54% des répondants.

Évidemment, les dirigeants d’entreprises et leurs DRH peuvent regarder ces chiffres de très haut. Se dire que la génération digitale n’a qu’à s’adapter aux bureaux à la papa. Sauf que 40% des étudiants de l’Essec expliquent que l’espace de travail est déterminant dans le choix de leur futur employeur. Peut-être que ces boites peuvent se passer aisément de tous ces futurs managers. Peut-être peuvent-elles se contenter de conserver leurs open space inadaptés à l’envie « de bosser ensemble » sans se gêner les uns les autres. Avec le risque que, dans quelques années, ils résonneront d’un écho de cathédrale, vidée de ses ouailles.

Sylvia Di Pasquale © Cadremploi.fr – 19 janvier 2014

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 21:55

Au bureau, le sexisme ordinaire travaille toujours à plein temps, rapporte une étude commandée par le Conseil supérieur de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes (CSEP) à l’institut LH2.

Les attitudes sexistes en entreprise ? Un vieux truc assurément. Et pourtant le sondage de l’institut LH2 pour Conseil supérieur de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes (CSEP) a été réalisé au mois de septembre. Pas vraiment au moyen-âge et pas vraiment dans des milieux professionnels particulièrement masculins ni dans des métiers sous qualifiés, puisque la très grande majorité des répondants sont des cadres. On y apprend que 8 femmes sur dix considèrent que leurs congénères « sont régulièrement confrontées à des attitudes ou des décisions sexistes ». On pourrait se tranquilliser en se disant que les quolibets qu’elles subissent au boulot (elles sont 81% a en essuyer), les petits noms dont on les affuble, les « cocottes », les « Barbie » et autres « ma puce » n’auraient aucune prise sur elles. Mais au contraire. 92% d’entre elles estiment qu’ils « peuvent modifier le comportement des salariés », qu'ils « déstabilisent le travail de ceux qui les subissent » et « ont un impact sur la confiance en soi ». Et ce n'est pas seulement une projection, puisque 54% estiment avoir rencontré un frein dans leur carrière en raison de leur sexe. Difficile d’être plus clair envers ceux qui considèrent que ces petits noms sont de simples signes d’affection.

Les blagues sur les blondes ont la vie dure

La publication de ces chiffres a choqué Abdel Aïssou. « Ils me replongent 6 ans en arrière ». A l’époque, le directeur général de Randstad France fait le même constat dans son entreprise. Mais il prend les choses en main, en interdisant les blagues sur les blondes et toutes les manifestations de sexisme, surtout, en expliquant et en formant ses managers. «L’exemple doit venir d’en haut ». Qui dit interdiction, dit punition ? « Non, il suffit d’y mettre de la bienveillance, expliquer que l’humour unilatéral employé par les hommes envers les femmes, doit devenir collatéral. » C’en est peut-être fini des « bons mots » sur les blondes dans l’entreprise d’intérim, pas dans les autres boîtes françaises, ou 69% des personnes interrogées affirment en avoir été victime. Une thématique suivie, dans 59% des cas du sempiternel « elle est de mauvaise humeur, elle doit avoir ses règles ».

Les hommes ne voient pas toujours le problème

Reste que pour faire évoluer les rapports hommes – femmes au bureau, la prise de conscience doit être réelle. Et si elle semble claire du côté féminin, leurs homologues masculins semblent avoir un bout de chemin à franchir. Lorsqu’elles sont 80% à pointer un problème, ces messieurs ne sont que 56%. De même, quand 49% des femmes expliquent qu’elles sont déjà été affublées de surnoms sexistes, les hommes ne sont que 38% à en avoir été témoins. Les convaincre eux pour qu’elles soient mieux dans leur entreprise semble donc nécessaire. « C’est aux dirigeants de s’en occuper, d’autant que c’est totalement bénéfique pour l’entreprise en termes de cohésion et de motivation » ajoute Abdel Aïssou. Une opération gagnant-gagnant, en quelque sorte. « Plutôt gagnantes-gagnants ».

Source: Michel Holtz @ http://www.cadremploi.fr

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14 octobre 2013 1 14 /10 /octobre /2013 22:29

L'âge, le sexe ou encore les origines sont souvent cités comme des freins à l'embauche, selon les personnes à la recherche d'un emploi. Les habitants des zones rurales ou de ZUS souffrent le plus.

La discrimination à l'embauche frappe de plus en plus de chômeurs. Selon une enquête Ifop pour le Défenseur des droits publiée ce lundi, 87% d'entre eux considèrent que les discriminations sont fréquentes au moment d'accéder à un emploi. Près de 37% affirment en avoir été personnellement victimes.

Parmi les quatre sources de discrimination, désignées par plus de 20% des demandeurs d'emploi, figurent l'apparence physique (obésité, vêtements), le fait même d'être chômeur, le sexe ou les origines (couleur de peau, nationalité, accent). D'autres critères sont parfois cités comme le handicap, l'âge avancé, le lieu d'habitation, le fait d'être enceinte, d'être syndiqué ou l'orientation sexuelle. Pour 48% des demandeurs d'emploi résidant en Zone urbaine sensible (ZUS), ce sont les origines qui s'avèrent être les plus discriminantes.

Hormis les habitants des ZUS ou des zones rurales, la majorité des chômeurs interrogés estime que la discrimination a davantage lieu au moment d'un entretien d'embauche qu'à l'occasion de l'envoi d'un CV.

Les actifs aussi concernés

Plus inquiétant, ces discriminations ne prennent pas fin avec l'embauche. Début janvier, la sixième édition du baromètre réalisé par l'Ifop pour le Défenseur des droits et l'Organisation internationale du travail (OIT) démontrait que les actifs, aussi bien dans le privé que dans le public, étaient aussi concernés par le phénomène. 29% des agents de la fonction publique et 30% des salariés du privé déclaraient avoir été la cible de discrimination au moins une fois.

Les principaux critères de discrimination cités par les victimes étaient les mêmes que celles évoquées par les chômeurs: l'âge, le sexe et la grossesse ou la maternité. Les responsables désignés par les victimes étaient la direction et le supérieur hiérarchique direct, suivi des collègues de travail. Près de quatre victimes sur dix rapportent par ailleurs n'avoir rien dit, principalement parce qu'elles pensaient que cela n'aurait rien changé.

Vu sur www.lefigaro.fr

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8 octobre 2013 2 08 /10 /octobre /2013 13:01

La rupture conventionnelle du contrat de travail est un "divorce à l'amiable entre l’employeur et son salarié", rappelle l'avocat Sylvain Niel. Pourtant, les salariés subissent parfois la pression de leur employeur qui voudrait leur faire signer cette forme de rupture du contrat de travail jugée rapide et modérément coûteuse pour l’employeur. Voici les conseils, étape par étape, pour tenir tête et éventuellement bien négocier votre sortie, si elle est inéluctable.

Refuser une rupture conventionnelle

Dès lors qu'un employeur impose sous la menace à son employé de signer une rupture conventionnelle, "ce dernier peut toujours refuser", rappelle Sylvain Niel, avocat à Fidal. La procédure de la rupture garantie la liberté des consentements (y compris celui du salarié). Quelles en sont les formes ? "Avant toute signature d’un accord de rupture conventionnelle, le salarié peut mettre fin au dialogue et confirmer à l'employeur par écrit les menaces dont il fait l'objet", selon Me Niel. Ce courrier permettra ainsi de rapporter la preuve des menaces subies en cas d'action judiciaire.

Revenir sur la signature d’une rupture conventionnelle

Deuxième cas de figure, la rupture est signée : "le salarié a 15 jours calendaires pour revenir sur sa décision, en expliquant par courrier recommandé au DRH qu'il a eu des menaces ce qui la rend d'office caduc", ajoute l'avocat. Si la rupture est antidatée pour masquer le délai de rétraction de 15 jours, le salarié peut en informer l'inspecteur du travail afin que l’homologation de la rupture soit refusée à l’employeur. En tout état de cause, une rupture conventionnelle pourra être contestée dans l’année suivant son homologation devant le conseil des prud’hommes afin de l’annuler, notamment si le consentement est vicié. La Cour de cassation a d’ailleurs rappelé dans son arrêt du 30 janvier 2013 que la rupture conventionnelle ne pouvait pas être signée alors que le salarié était victime de harcèlement moral.

Faut-il vraiment résister ?

Tout dépend de l’âge et des projets d’avenir. « La rupture conventionnelle n’est pas très intéressante lorsque le salarié est en âge de partir à la retraite », met en garde Me Alix Drouet, avocate au sein du cabinet Vaughan. En effet, les sommes versées à l’occasion d’une rupture conventionnelle sont soumises à cotisations sociales dès le premier euro pour les personnes susceptibles de partir avec une retraite à taux plein.

A des âges inférieurs, le choix d'une rupture conventionnelle prête à débat. Si le salarié a déjà un projet professionnel pour rebondir, la rupture conventionnelle est un bon moyen de sortir la tête haute. « Alors que les employeurs prennent de plus en plus des références sur leurs futures recrues, les conditions d’un départ en disent souvent long sur l'image qu’un collaborateur laisse dans l’entreprise », explique Mr Niel. Négociation chaotiques ou demandes de sommes extraordinaires peuvent ainsi constituer un handicap pour la suite de la carrière. Le salarié a donc tout intérêt à se montrer raisonnable dans la conduite des négociations.

Comment négocier sa sortie ?

Lorsque la demande émane de l'employeur, le salarié est en position de force pour négocier. "Il n'y a pas de plafond à l'indemnisation à la rupture conventionnelle", rappelle Me Niel. Le salarié touchera au minimum l'indemnité légale de licenciement ou l'indemnité conventionnelle de licenciement prévue par les accords d'entreprises. Mais employeur et employé peuvent se mettre d'accord sur un chèque plus conséquent, surtout si ce dernier fait valoir qu'il a été l'objet de pressions: en général, les parties vont négocier une rallonge de 6 mois de salaires, voire un mois de salaires par année d'ancienneté, soit "l'équivalent des dommages et intérêts que le salarié aurait perçu en cas de licenciement abusif", selon Me Niel. Il est aussi possible de négocier une formation ou un coaching.

Rupture conventionnelle : négocier un préavis

« Les cadres n’ont pas toujours intérêt à choisir la rupture conventionnelle car, contrairement au licenciement (sauf pour faute grave, NDLR), ils perdent leur préavis, soit environ 3 mois », estime l’avocat. « Aucun préavis n’est prévu dans le cadre de la rupture conventionnelle du contrat de travail à durée indéterminée, ce terme étant réservé au licenciement et à la démission, atteste le site du Ministère du travail. Toutefois, rien n’empêche les parties de prévoir une date de rupture de contrat de travail qui convienne à chacun, et qui sera plus ou moins éloignée de la date minimale qu’est la certitude que l’homologation n’a pas été refusée par le DIRECCTE ».

Licenciement pour motif personnel

Par ailleurs, depuis le 1er janvier 2013, le forfait social de 20% applicable à une partie de l’indemnité rend la rupture conventionnelle moins intéressante qu’auparavant. Or cette nouveauté fiscale pourrait amener les employeurs à proposer un licenciement pour motif personnel avec transaction aux personnes dont ils veulent se séparer. Dans cette hypothèse, les salariés toucheraient une indemnité conventionnelle de licenciement plus 6 mois de salaires, le montant qu’ils auraient pu empocher à l’issue d’une procédure judiciaire.

lien: http://actualites.cadremploi.fr/editorial/conseils/droit-du-travail/detail/article/votre-patron-veut-vous-imposer-une-rupture-conventionnelle-comment-faire.html

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1 octobre 2013 2 01 /10 /octobre /2013 13:31

Dans le Val d’Oise, 64 970 personnes sont inscrites à Pôle Emploi en
catégorie A, fin août 2013 soit une diminution de - 2 % par rapport à fin juillet
2013 et une hausse de + 7, 3 % sur un an.
Sur notre département, fin août 2013, 88 270 personnes sont inscrites à Pôle
Emploi en catégories A, B, C soit une diminution de -1,8 % par rapport à fin
juillet 2013, et une hausse de + 6,5 % sur un an.
Fin août 2013, 2490 offres d’emploi sont recensées dont 1610 emplois durables
de plus de 6 mois et 880 emplois non durables de moins de 6 mois.


« Les chiffres du chômage auraient baissé...foutaise... Avec plus de 240 000
radiations, il faut arrêter de se foutre de la gueule du monde....où sont
comptabilisées les fins de droits, les 18/25 ans sans emploi, les personnes
handicapées sans emploi, les SDF.... Si l'on comptabilisait l'ensemble des
personnes sans ressource et/ou à ressource minimum (300/500€) nous
parlerions aujourd'hui d'une fourchette comprise entre 8 et 10 millions de
chômeurs... La pauvreté n'en parlons pas, elle atteint les classes moyennes
d'hier, à qui le tour... Sarko sort de ce corps...quoique nous sommes en
Sarkollandie... »

L. Mansouri

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 13:29

Afin de mieux comprendre ce qu'est la protection sociale et son fonctionnement, la section CGT Nielsen vous invite à regarder la vidéo en suivant le lien ci-dessous qui dure quelques minutes, mais qui vous permettra de tout comprendre.

http://www.cgt.fr/-Protection-sociale-.html

Bon visionage

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 20:16

Suite aux annonces faites par le gouvernement, il est important de se mobiliser et d'être nombreux le 10 septembre.

Ci-dessous un vidéo sur la préparation de cette manif.

Vous trouverez un guest star à la 50ème seconde...

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 13:24

Nielsen, plus connu pour les mesures d'audiences, a augmenté la taille de son contrat avec le géant indien des services sur logiciels, Tata Consultancy Services, de 1 à 2,5 milliard de dollar.

Nielsen a aussi élargi le contrat de 3 ans, soit jusqu'en 2020; et devrait acheter des services pour au moins 100 millions de dollars tous les ans.

Le contrat élargi, parmi les plus importants de TCS, arrive alors que le secteur des services IT en Inde est à un tournant, grâce notamment à de nouveaux clients et une hausse des dépenses des clients existants.

Le nombre de clients qui dépensent plus de 100 million de dollars par an chez TCS est passé de 14 à 16 en janvier 2013 selon TCS.

D'autres clients sont la Général Electric, British Airways et Sony.

Source: http://post.jagran.com/Nielsen-boosts-Tata-Consultancy-Services-contract-to-USD-25-billion-1360658148

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